La question de disparité entre les filles et les garçons n’est pas nouveau et ceci c’est un problème social que nous trouvons dans plusieurs pays comme la Côte d’Ivoire, le Bénin, l’Inde et surtout Haïti dans les zones défavorisées.
Toute fois en Haïti de façon générale ,on constate que les filles éprouvent plus de difficultés d’apprentissage, qu’elles accumulent plus de retard académique, qu’elles redoublement d’avantage les classes et qu’elles abandonnent plis souvent que les garçons. Or ce constat d’une plus grande difficulté des filles l’école par rapport aux garçons n’est pas partager à tous.
En effet au moment où un courant dominant laisse entendre les filles réussissent mal à l’école et celle ci n’est pas pas adapté à leurs caractéristiques et à leurs besoins, d’autres points de vue sont venus nuancer le problème , en effet d’une part certains chercheurs ( e, es) avancent l’idée que malgré le fait que les garçons réussissent mieux à l’école. D’après le témoignage d’une fille écolière: » la majorité des filles de nos jours ne réussissent pas premièrement de leurs faiblesses d’apprentissage, mais aussi elles s’intéressent beaucoup plus au téléphone avec leurs copines ». Un Étudiant déclare que : « les filles pourraient réussir mieux autant que les garçons mais qui se pose les garçons sont plus libres que les filles et ils ont beaucoup plus de moyens pour réussir leurs travaux et les sont moins libres avec leurs tâches ménagères à la maison,elles n’ont pas assez de temps vraiment pour consacrer à leur étude et comme ça les choses sont devenues boiteuses de leurs part ».
Beaudelot et Escablet sont deux socio-logues qui éxposent que « les progrès des filles n’entraînent pas pas automatiquement la promotion des femmes » selon GRENIER Véronique dans sa thèse de maîtrise en 2013. On relève cette déclaration pour faire voir que la réussite des filles n’arrive pas à atteindre quand elles sont devenues majeures dans les inégalités des salaires, la ségrégation des emplois, la difficulté des promotions.
Dans un autre ordre d’idées bien que conscients des difficultés des garçons à l’école, certains chercheurs rendent doux le problème en mentionnant que l’écart entre les filles à l’école est plus grand dans las milieux défavorisés. En effet « l’environnement socioéconomique de l’élève exerce d’avantage d’effet sur la réussite des garçons que les filles. D’autre démontrent que les difficultés des garçons sont d’avantage sur le plan de la littéraire (lecture et écriture) sommes tous ces aspects nuancent les discours de réussite scolaire généralisé entre les filles et les garçons
